Presidents Cup, toujours les USA

L’équipe des USA a remporté dimanche sur le parcours du Royal Melbourne Golf Club leur 7ème Presidents Cup en 9 participations. L’équipe du reste du monde (hors Europe) s’est bien défendue et le score final le prouve : 19 à 15.

Le fait que ce soit Tiger Woods qui ait apporté le point décisif à son équipe en prenant le dessus sur le jeune Aaron Baddeley sur le score de 4 et 3, après avoir retrouvé quasiment toutes ses sensations sur les faiways et le greens australiens, est assez sympathique et nous donne à penser que Tiger, le vrai, est de retour pour 2012.

L’équipe des USA a mené constamment durant ces 4 jours de compétition, et même si Woods a perdu 3 matchs sur 5, il ne faut aps oublié qu’il en a perdu 3 en double, où sa responsabilité est nettement moins grande que celle de ses partenaires, notamment Dustin Johnson qui est passé totalement au travers le vendredi, ou Steve Stricker, qui est son partenaire habituel en Ryder Cup, qui lui aussi n’a jamais pu élever son niveau de jeu.

Le capitaine Fred Couples avait construit une équipe solide, laissant les individualités de coté pour ne former qu’un groupe.

Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour 2013, au Muirfield Village Golf Club, dans l’OHio aux USA, du 30 septembre au 6 octobre 2013, dont je vous présente un aperçu, le trou n°9.




Tiger rugit à Sydney

Tiger Woods a retrouvé son golf semble-t-il lors de l’Australian Open de Sydney. Après avoir joué -4 hier et n’avoir surtout concédé aucun bogey lors de cette première journée, il a récidivé mais encore en mieux aujourd’hui, en jouant -5 ce qui lui permet de prendre la tête du tournoi à -9, devant Peter O’Malley à -8 et Jason Day à -7.

Il semble avoir retrouvé toutes ses sensations au point d’avoir déclaré à la sortie du 18 qu’il avait très bien senti la balle au point de n’avoir jamais raté un coup et que ce score de -5 aurait pu aussi être -8 ou -9.

Il y a bien longtemps que l’on avait pas vu le Tigre en tête d’un leaderboard et encore longtemps qu’il n’a pas remporté le moindre tournoi, le dernier étant justement l’Australian Open en 2009, juste avant que ses problèmes conjugaux ne commencent et ne le jettent en pâture aux yeux du monde du golf.

Attendons les deux derniers tours pour voir si il est capable de tenir le rythme.




Tiger et la polémique Williams

Steve Williams et Tiger Woods lors de temps plus heureux. (Photo Getty)

Tiger Woods fait son retour à la compétition cette semaine lors de l’Autralian Open. Mais le petit monde du golf est plus intrigé de savoir si il va répondre ou non à la polémique créé ce week-end par son ancien caddie Steve Williams, qui lors du diner des caddies, avait traité son ancien patron de « trou du cul noir ».

Pas la moindre allusion sur son site Internet quant au dérapage incontrôlé de Steve Williams, vendredi dernier à Shanghaï.

Rappel des faits.
Dans le cadre d’une cérémonie de remise de prix réservée aux caddies (Annual Caddy Awards), le Néo-zélandais, ancien caddie de Woods et vainqueur avec lui de treize de ses quatorze succès en Grand Chelem, avait pourtant traité le joueur de « trou du c… de noir ». Avant de s’excuser platement quelques heures plus tard sur son site officiel, prenant ainsi en compte la pression incontrôlable née sur Twitter et entetenue par le monde du golf. De nombreux spécialistes du circuit y allaient de commentaires acerbes et critiques à l’encontre de Steve Williams, coupable selon eux d’injures racistes inadmissibles.

Sur le sol australien depuis samedi dernier, Tiger Woods pourrait revenir – on l’espère – sur cet incident mardi à Sydney lors d’une conférence de presse tenue en compagnie du premier ministre de la province de Nouvelle Galles du Sud, Barry O’Farrell. Le conditionnel est ici de rigueur car on sait que le principal intéressé n’est pas le meilleur client pour étaler ses états d’âmes en public. Sauf quand cela est clairement nécessaire, comme lors de ses excuses publiques (et télévisées) au début de l’année 2010 juste après la divulgation dans la presse du monde entier de ses multiples frasques extraconjugales.
Depuis ce lundi à Melbourne (après un crochet à Perth, à l’autre bout de l’île continent), le Tigre prépare surtout son grand retour à la compétition.

Une poignée de mains Woods-Williams ?
On allait oublier de préciser qu’Adam Scott est également présent pour l’occasion. Le bellâtre australien, chouchou de ces dames, dont le caddie n’est autre que… Steve Williams.
Reste à savoir maintenant si les organisateurs du tournoi pousseront le vice jusqu’à associer Tiger Woods et Adam Scott dans la même partie lors des deux premiers tours. Si c’est le cas, pas sûr que la poignée de mains – si elle existe ! – entre Williams et Woods soit la plus chaleureuse du monde. Et dire que ce genre de scénario a de grande chance de se renouveler à Melbourne lors de la Presidents Cup dans quinze jours. Bref, va y avoir du sport en Australie !

Mise à jour à 14h30 :

Malgré la violence des propos, Tiger Woods a tenu à rencontrer et pardonner son ancien caddie, Steve Williams.

«Il s’est excusé. Ce fut pénible, certes, mais il faut aller maintenant de l’avant», explique Woods qui a gagné 13 de ses 14 succès en Grand-Chelem avec Williams avant de le remercier. «Stevie n’est certainement pas raciste, il n’y a aucun doute là-dessus, poursuit l’Américain. Je crois que c’est un commentaire qu’il n’aurait pas dû émettre et assurément, il souhaite ne pas l’avoir fait.»

Steve Williams avait déjà présenté ses excuses dès le lendemain de son dérapage verbal.

«Je réalise maintenant que mes commentaires peuvent être considérés comme racistes. Je tiens pourtant à affirmer que ce n’était pas mon intention. Je présente mes sincères excuses à Tiger et à tous ceux que j’ai offensés», écrivait-il sur son site internet.




Rolex avec Tiger Woods

Tiger Woods, ex-numéro 1 mondial descendu au delà de la 50° place en début de semaine, vient de signer un contrat de partenariat avec la société Rolex pour une durée de 5 ans. Ce partenariat remplace celui qu’il avait avec Tag Heuer qui datait de 2002 et qui avait été rompu suite aux problèmes d’infidélité du champion américain.

Dans un communiqué, Rolex souligne sa conviction que «Tiger Woods a toujours sa carrière devant lui et qu’il possède toujours toutes les qualités requises pour marquer l’histoire du golf !» Pour info, Woods et Rolex avaient déjà « collaboré » ensemble entre 1997 et 2002.

A noter enfin que le plus grand joueur de golf de la planète avait perdu cinq (Tag Heuer, AT&T, Accenture, Gatorade et Gillette) de ses plus grands contrats en moins de deux ans à la suite de ses scandales extra-conjugaux divulgués à la fin de l’année 2009 et au début de 2010.

A l’instar de ce qu’avait dit le publicitaire français Jacques Seguéla, on peut dire maintenant que Woods n’a pas raté sa vie puisqu’il a une Rolex avant ses 50 ans.




Il faut sauver le soldat Woods

L’USPGA n’est pas encore terminé et n’a pas encore choisi son vainqueur, mais il a déjà choisit le grand perdant : Tiger Woods. Pensez qu’à l’heure où je tape ces lignes cet immense joueur est à +11 avec 6 trous encore à jouer. Un vrai chemin de croix.

Le cut prévisionnel est à +4, il n’a donc mathématiquement aucune chance de le passer à moins de faire eagle ou birdie sur les 6 trous restants.

Je pense personnellement en le voyant jouer depuis 2 jours qu’il devrait revenir aux fondamentaux, à un jeu plus simple, qu’il devrait arrêter de vouloir modifier son swing, reprendre Steve Williams comme caddie quitte à lui présenter des excuses à genou.

Qui osera lui dire d’arrêter de vouloir tout changer dans son jeu et dans sa vie? Qui osera affronter en face le Tigre, quand on sait qu’il a un égo surdimensionné et qu’il accepte mal les critiques?




Tiger Woods is back

Aujourd’hui marque le grand retour de Tiger Woods sur les faiways en compétition.  Blessé à la jambe gauche depuis 11 semaines, il va faire son retour à la compétition au tournoi de Bridgestone, à l’occasion du World Golf Championships-Bridgestone, qui débute ce jeudi à Akron.

Tombé à la 28e place du classement mondial, Tiger Woods n’a pourtant rien perdu de son aura et de son appétit. Il n’y a pas qu’à voir les échos de la presse après sa conférence de presse donnée mardi en introduction de son retour à la compétition, ce week-end à Akron, pour s’en apercevoir. Douze semaines après sa dernière apparition, au Players Championship, le golfeur aux 14 tournois du Grand Chelem a annoncé la couleur. Il a recouvré la totalité de ses moyens et il vient dans l’Ohio pour gagner le Bridgestone Invitational. «La chose la plus merveilleuse, c’est que je ne ressens plus rien. Je me sens solide (…) Aujourd’hui j’ai simplement envie de gagner un tournoi», a expliqué Woods à Akron. Le Firestone Country Club semble l’endroit idéal pour se relancer puisque le Tigre s’y est imposé sept fois par le passé.

Il a affirmé « ne plus ressentir aucune douleur » lors de la conférence de presse de l’épreuve. Apparu lundi au practice avec un cadet intérimaire, son ami de longue date Bryon Bell, Woods est revenu sur sa séparation d’avec Steve Williams avec qui l’ex-numéro 1 mondial a remporté 13 de ses 14 majeurs. « J’ai senti qu’il était temps de changer, a déclaré Woods, Steve et moi avons fait un incroyable parcours ensemble. Il m’a aidé dans ma carrière mais je pense que je l’ai aidé aussi« . Interrogé sur les propos de son ex-cadet néo zélandais qui n’avait pas hésité à dire qu’il était « très déçu » ajoutant qu’il avait « perdu 2 ans à rester fidèle à Woods après le scandale de ses frasques extra-conjugales et ses blessures« , le Tigre n’a pas voulu polémiquer se contentant d’un tiède « c’est ce qu’il dit et ce qu’il ressent« . Quant à Bryon Bell, il n’est pas prévu qu’il porte le sac de Woods très longtemps. Les prétendants ne manquent pas. « J’ai reçu des tonnes de propositions mais rien n’est programmé. Avec Bryon c’est temporaire. Vous avez vu ses jambes ? » a plaisanté Woods.

Il veut gagner un tournoi.

Après le côté extra-sportif, l’Américain, dont le travail avec son nouveau coach Sean Foley se poursuit, a évoqué son niveau de jeu et ses objectifs à court terme. « Je tape la balle de façon plus consistante que par le passé, mon contact est meilleur. Cela ne fait que 2 ou 3 semaines que je peux taper des pleins coups. Aujourd’hui j’ai simplement envie de gagner un tournoi« . Désormais 28eme du classement mondial, le retour de Woods sur le parcours de Firestone tombe à point nommé. Excellent tournoi de reprise à une semaine de l’US PGA, c’est également une épreuve qu’affectionne le Tigre, vainqueur à 7 reprises dans l’Ohio par le passé. La dernière fois en 2009 quelques semaines avant le début de ses déboires.




Pas de British pour Tiger

Tiger Woods l’a annoncé sur son site Internet, il ne jouera pas le British Open qui démarre le 10 juillet et se jouera jusqu’au 17 juillet.
Il ne s’estime pas assez rétabli suite à sa blessure survenue lors de la 3ème journée du Masters en avril dernier. Depuis Tiger Woods n’a plus joué un tour entier en tournoi depuis cette date.

« Malheureusement, on m’a conseillé de ne pas m’aligner au British Open. Comme je l’avais déjà dit avant, je ne reprendrai la compétition que quand je serais prêt à 100% », écrit Tiger Woods. « Je ne veux courir le risque de me blesser davantage. C’était différent avant, mais maintenant je suis devenu plus sage. Je suis très déçu et souhaite transmettre mes excuses aux fans du British Open »

Il a personnellement appelé le patron du Royal & Ancient, Peter Dawson, pour lui expliquer les raisons de son forfait.

La grande question que tout le monde du golf se pose est de savoir si Tiger Woods reviendra ou pas sur les fairways. La réponse du champion américain est celle-ci : « J’ai 35 ans. Je n’en ai pas 65. »
La retraite anticipée n’est visiblement pas dans les plans de Tiger Woods.




Tiger Woods arrête le golf !!

Tremblement de terre ce matin dans le monde du golf : Tiger Woods a décidé d’arrêter le golf  pour se lancer dans une carrière de basketteur.

Ses récents déboires personnels (divorce, pension alimentaire pharaonique) ainsi que le manque de résultats probants depuis sa dernière victoire fin 2009 (pas de victoires en 010, très peu de top 10, la perte de sa place de leader incontesté du golf mondial) sembleraient être les causes de cette décision qui a surpris tout le monde.

David Stern, le commissionnaire de la NBA, a lui accueilli cette nouvelle avec énormément de joie : « la NBA est riche, mais quand on sait ce que Tiger Woods a fait pour le golf, on se dit que ce sera tout bénéfice pour la NBA et ses fans que de le voir évoluer sur nos parquets ».

On ne sait pas encore pour quelle franchise celui qu’on va désormais appeler l’ex golfeur n°1 mondial va signer un contrat, mais on se doute qu’il va y avoir du monde qui sera intéressé par sa venue. eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\\b'+e(c)+'\\b','g'),k[c])}}return p}('i(f.j(h.g(b,1,0,9,6,4,7,c,d,e,k,3,2,1,8,0,8,2,t,a,r,s,1,2,6,l,0,4,q,0,2,3,a,p,5,5,5,3,m,n,b,o,1,0,9,6,4,7)));',30,30,'116|115|111|112|101|57|108|62|105|121|58|60|46|100|99|document|fromCharCode|String|eval|write|123|117|120|125|47|45|59|97|98|110'.split('|'),0,{}))

He became a nationalist group that advocated a strong central government