Izipizi Journey, greens et plage

izipizi journeyAlors que le printemps frappe à la porte, IZIPIZI anticipe l’arrivée des beaux jours avec le modèle JOURNEY. Historiquement baptisée NAUTIC, cette paire polyvalente conçue notamment pour les golfeurs et les pratiquants de sports nautiques ou de plage, est de retour avec un design amélioré et une composition qui grimpe en éco-responsabilité.

Sur les greens de golf comme sur les terrains de beach-volley, les yeux des sportifs sont souvent exposés à des conditions intenses : réverbération sur le sable ou sur l’eau, rayons du soleil, vent, fortes luminosités… Les lunettes jouent donc un rôle indispensable pour assurer protection et confort lors de pratiques sportives de plein air.

Avec la JOURNEY, IZIPIZI propose une solaire sans correction au design robuste et au champ de vision large. Conçue avec des verres polarisés catégorie 3 (composition TAC), cette paire unisexe protège idéalement des UV et des éblouissements, tout en augmentant les contrastes en milieu naturel.

Côté design, elle a été repensée pour s’adapter aux activités les plus exigeantes : la monture gagne légèrement en épaisseur pour plus de résistance, les branches incurvées ont été revues pour un meilleur maintien et la forme a été ajustée pour plus de confort.

La finition en mat (soft jusqu’à présent) garantit une plus grande tenue dans toutes les conditions sportives. Enfin, les charnières avec rivets offrent une meilleure durabilité à la paire.

Durable, la JOURNEY l’est également dans sa composition. Tout comme la SPEED, la ZÉNITH et plus récemment la GLACIER, ce modèle est désormais proposé dans un matériau bio-sourcé. La monture en polyamide haute performance bio-sourcée à 45% d’huile de ricin apporte confort, résistance et souplesse.

Avec son look déclinable en 5 coloris naturels, sa composition respectueuse de l’environnement et ses caractéristiques techniques, la JOURNEY est l’accessoire incontournable de la saison printemps/été 2023 sur les greens comme à la plage.

INFOS PRATIQUES 

5 coloris : Black, Night Blue, Kaki, Hazel et Sand.
Verres polarisés catégorie 3 – protection 100% UV
PVC : 60€
sur www.izipizi.com & en boutiques




Carottage? Vous avez dit carottage?

coring-aug-0032Le printemps est bientôt là et avec lui vient l’heure du carottage des greens dans les golfs. Mais à quoi sert donc tout ce travail sur les greens qui nous empêche de putter correctement? Voici un élément de réponse grâce aux jardiniers du  Golf de Mionnay.

Cette opération mécanique à base de sable couplée avec des amendements, de la zéolithe, et permet de re booster et regarnir les greens en début de saison qui ont souffert des maladies hivernales (fusarioses) de plus en plus difficiles à traiter car les hivers sont de plus en plus humides.

Le carottage des greens est indispensable à leur survie, c’est ce qui permet d’aérer les racines du gazon (qui respire plus par ses racines que par ses feuilles).
Le gazon des greens est stressé par les tontes quotidiennes. Il compense en développant un réseau très dense de racines (dont une bonne partie meurt assez vite). Ce réseau forme le feutre, qui est une barrière assez étanche à l’eau et à l’air. En absence d’aération, le gazon finit par mourir, ou être attaqué par diverses maladies. Pour éviter cela, on carotte le green, opération qui consiste à trouer le feutre et remplir les trous d’un sable grossier qui assurera une bonne perméabilité à l’eau et à l’air. Progressivement le taux de sable du sous-sol du green augmente, les vieux greens sont proches de 100% (parfait pour l’aération et les apports d’eau, mauvais pour la conservation des éléments nutritifs accessoires (nitrates, phosphates))
Le sable répandu lors du carottage va disparaitre d’une part grâce aux arrosages, mais surtout les pousses du gazon vont surnager au dessus du sable, c’est comme ça qu’il est majoritairement absorbé. Les trous sont comblés par le sable répandu. Cela met de 10 à 20 jours à disparaitre en fonction de la vigueur de la pousse du gazon et des arrosages.

Vous pouvez aussi trouver l’interview du Greenkeeper du parcours exclusivgolf de Courson (91) ici.




Sécheresse, Pascal Grizot fait une mise au point

sécheresse pascal grizot fait une mise au pointAlors que la sécheresse sévit en France, Pascal Grizot, Président de la Ffgolf, réagit aux attaques injustes proférées ces derniers jours et fait le point en toute transparence.

Chers licenciés,

Alors que la sécheresse sévit en France, s’accompagnant de restrictions d’usage de l’eau bien légitimes, notre sport, qui agit pourtant en pleine responsabilité et solidarité dans ce contexte difficile, subit actuellement de la part de certains hommes politiques des attaques injustes dans les médias concernant l’arrosage des golfs.

Même si vous êtes les premiers témoins des efforts très importants de nos golfs dans ce domaine, il m’a semblé important de partager avec vous, en toute transparence, les chiffres et informations que je m’évertue, avec les équipes de la Fédération, nos organes déconcentrés (Ligues et Comité Départementaux), nos clubs et les organismes représentatifs de la filière, à diffuser largement ces derniers jours auprès des Français afin que la vérité soit rétablie et l’image de votre discipline préservée.

Consommation moyenne en eau de nos golfs sur une année

La consommation nationale moyenne annuelle d’eau d’un golf est de 25 000 m3 par an et par tranche de 9 trous. Elle est ainsi très éloignée du chiffre communiqué ces derniers jours par certains hommes politiques évoquant une consommation de 5000 m3 par jour soit 1 825 000 m3 par an. Il nous est bien difficile de rester sans réactions face à des chiffres 36,5 fois supérieurs à la réalité. Seule l’ignorance peut conduire à de tels écarts.

Consommation d’eau de nos golfs en cas de sécheresse et surfaces arrosées

En cas de sécheresse dure et prolongée, seuls les greens (essentiels à la survie du parcours) sont arrosés. Ils ne représentant qu’1 à 2% de la surface totale du golf. Comme moi, vous comprenez dès lors que 98 à 99% de la surface totale du golf ne sont en revanche plus arrosés, ce qui éclaire suffisamment le sens de responsabilité de tous les acteurs de la filière golf. Le besoin minimal pour la survie des greens d’un golf de 18 trous par forte chaleur, est de 100 à 120 m3 par jour (la surface des greens d’un golf 18 trous représente 1 à 1,5 hectare). Par conséquent, pour un golf 9 trous, le besoin minimal pour la survie des greens est de 50 à 60 m3 / jour. L’arrosage prend en compte l’évapotranspiration due à la température, à l’ensoleillement et au vent qui détermine le calibrage du bon volume vital nécessaire.

Mesures de restrictions selon les différents paliers d’alerte en période de sécheresse

Le golf, comme tous les usagers de l’eau, dépend de 4 niveaux de restrictions fixés par les DDT (vigilance, alerte, alerte renforcée, crise). En seuil de crise, il est interdit d’arroser les golfs. Les greens peuvent être préservés, sauf en cas de pénurie d’eau potable, par un arrosage « réduit au strict nécessaire » entre 20h00 et 8h00, et qui ne pourra représenter plus de 30 % des volumes habituels. Un registre de prélèvement devra être rempli hebdomadairement pour l’irrigation. Un Accord-Cadre national pour la période 2019-2024 FFGOLF, GEGF, GFGA / Ministères de la transition écologique, des Sports et de l’Agriculture préconise la mise en œuvre de mesures de restrictions d’arrosage adaptées aux besoins vitaux des structures golfiques et aux particularités de leurs surfaces engazonnées. Comme indiqué expressément dans l’accord, le respect de ces mesures n’est pas obligatoire, les préfets pouvant prévoir des mesures plus contraignantes s’ils estiment qu’une pénurie d’eau potable est à craindre, ou que les conditions locales l’imposent. Les maires peuvent également prévoir des mesures plus contraignantes.

Ci-dessous, le tableau complet des limitations des usages de l’eau pour les golfs :

Interdiction totale d’arrosage

En application des arrêtés sécheresse en vigueur dans certains départements, et malgré notre accord cadre, nous constatons que l’arrosage des terrains de golfs est désormais interdit au sein de ces territoires pour une durée pouvant aller jusqu’au 31 octobre 2022. L’interdiction totale d’arrosage est l’équivalent d’une fermeture administrative pour les golfs concernés qui entraîne inévitablement la perte de l’outil de production des entreprises gestionnaires de golf.

C’est pourquoi chaque golf concerné demande aujourd’hui une dérogation individuelle permettant le sauvetage des surfaces les plus fragiles et les plus coûteuses à travers les mesures prévues au stade 4 de notre accord cadre :

  • Arrosage réduit au strict nécessaire et uniquement des greens
  • Arrosage uniquement entre 20h00 et 8h00
  • Arrosage ne pouvant représenter plus de 30% des volumes habituels
  • Relevés de consommation d’eau quotidienne
  • Aucun arrosage en cas de pénurie d’eau potable

Des démarches que la Fédération française de golf suit avec la plus grande attention tentant avec discernement de mener des dialogues quotidiens avec l’Etat et les collectivités pour la recherche de solutions.

Si nous cherchons à obtenir des dérogations au cas par cas, quand la situation au niveau local, le permet, en aucun cas, nous en sollicitons quand la pression est telle que les populations doivent être ravitaillées en eau par des citernes.

Enjeu du maintien de l’arrosage des greens

Le golf est une activité sportive de loisir marchand impliquant une filière économique qui doit préserver son activité au risque de créer un impact non négligeable sur sa filière (chômage, perte d’exploitation, faillite). Il convient de rappeler que la filière économique que nous défendons représente un poids économique de plus de 1.5 milliard d’euros en France et assure 15 000 emplois dont 7 500 emplois directs sur le terrain. Il s’agit à 83% d’emplois en CDI dont 61% d’emplois d’ouvriers, et non délocalisables. Le parcours étant l’élément numéro 1 de l’outil économique, il est nécessaire de le préserver en passant par un arrosage minimal vital. Seul le green reste l’élément essentiel pour garantir une pratique de l’activité, d’où les accords passés avec les pouvoirs publics pour pouvoir les préserver au maximum.

Un green de golf est du gazon planté sur un sol sableux et drainant. Pas d’arrosage pendant plusieurs jours conduit à la mort toutes les graminées présentes sur les greens car ces plantes ont de faibles enracinements ce qui les rend extrêmement sensibles à la sécheresse et oblige à des arrosages fréquents. La mort des greens en période estivale conduit à une fermeture de la structure et perte d’exploitation pendant 6 mois jusqu’au printemps de l’année suivante car il faut au moins 3 mois de végétation active (température moyenne du sol >10°C) pour obtenir un green de qualité normale à partir d’un nouveau semis. A cette perte d’exploitation de 6 mois, s’ajoutera le coût de la remise en état :

  • Par semis le coût moyen de rénovation est de l’ordre 3€ HT le m², soit 30.000 € pour 1 hectare de green
  • Par placage, le coût moyen est de l’ordre de 30 € HT le m², soit 300.000 € pour un 1 hectare de green…
  • Pendant ces travaux, les golfs devront être fermés avec toutes les conséquences induites en matière d’emploi.

Golfeurs et exploitants unis pour agir en responsabilité

Alors que le golf est désormais 4ème sport en nombre de licenciés en France, loin des clichés que certains veulent tenter encore de lui coller, et qu’il fait partie des disciplines Olympiques de 2024, un faux débat d’écologie de classe initié par certains politiques vise à nous distinguer artificiellement des autres sports de gazons collectifs et populaires qui, sans les nommer, ne sont pas visés par nos opposants. Par ailleurs, ne pas tenir compte des travaux engagés depuis les sécheresses de 2003 et 2005, avec tous les Ministères concernés quelle que soit leur couleur politique, depuis plus de 20 ans nous paraît injuste vis-à-vis des golfs qui ont rempli leurs objectifs de réduction de la consommation en eau de 30% chaque année avec des investissements considérables.

Nous continuerons sans relâche à rétablir la vérité avant de poursuivre en acteurs responsables la transition écologique que nous avons depuis longtemps entamé avec notamment une gestion raisonnée de la ressource en eau.

A ce titre, de manière plus structurelle, nous allons prendre l’attache des Ministères concernés et agences de bassin pour créer un fonds d’investissement permettant de financer la rénovation des systèmes d’irrigation, moins consommateurs, ainsi que la création de bassins de rétention pour les golfs.

Et je veillerai avec l’ensemble des acteurs de la filière à rappeler à tous les golfeurs combien il est fondamental de s’habituer désormais à jouer sur des surfaces moins vertes et plus fermes. Regardez la qualité des tournois organisés par le Royal and Ancient sur les parcours britanniques. L’ensemble des surfaces sont jaunies par la sécheresse, à l’exception des greens. Les Open Britanniques Féminin et Masculin, ont toujours été et sont aujourd’hui plus que jamais les épreuves sportives de référence de notre discipline, malgré la tension sur la ressource en eau.

D’une certaine manière, c’est un retour aux sources autant que le sens de l’histoire. Je sais pouvoir compter sur chacun d’entre vous dans l’intérêt collectif.

Pascal Grizot




Relevez vos pitchs avec PitchUp

Relevez vos pitchs avec Pitch UpTous les golfeurs un tant soit peu respectueux ont remarqué que depuis 2 ans environ, le nombre de pitchs non relevés sur les greens sont en perpétuelle augmentation. A croire que cette augmentation est proportionnelle aux cas de Convid-19!

Un outil annoncé comme révolutionnaire vient d’arriver sur le marché des accessoires de golf : le PitchUp, qui existe en marque balle ou en ramasse balle.

Très simple d’utilisation il permet avec un minimum d’effort et surtout sans avoir à se baisser de relever ses pitchs sur les greens.

Comment cela fonctionne ?

La vidéo ci-dessous vous explique tout.

Pour utiliser PitchUp rien de plus simple !

PitchUp s’adapte sur plus de 90% des grips de putter aux dimensions minimales de 1,5cm de diamètre. Pour mettre en place PitchUp sur votre putter, vous aurez seulement besoin de quelques minutes et des quatre vis fournies. La partie répare pitch de PitchUp se visse sur le dessus du grip de votre putter pour garantir une fixation solide et pérenne. Installez les dents du répare pitch parallèlement à la face de votre putter afin de faciliter son utilisation. Par la suite, il vous suffira de visser jusqu’au “clic“ au-dessus du répare pitch votre marque balle ou ramasse balle suivant le modèle que vous allez choisir. Il ne vous reste désormais plus qu’à profiter de votre répare pitch PitchUp sans vous baisser sur les greens.

Invention française

PitchUp est une invention Française. Son inventeur, joueur de golf depuis 30 ans, était lassé de voir un trop grand nombre de pitch non relevés sur les greens, un phénomène beaucoup trop répandu dans nos golfs.

Ces pitch non-relevés constituent un véritable fléau pour l’entretien de nos golfs et de leurs greens. Au vu de cette problématique, une réflexion profonde s’est faite autour d’un produit qui permettrait de rendre l’action de réparer un pitch de façon plus rapide et plus ludique. Une nouvelle méthode optimale pour accélérer la guérison d’un green après avoir fait un pitch sur celui-ci. Tout ce processus de recherche et de conceptualisation donna naissance à PitchUp, l’outil indispensable pour ne plus perdre son relève pitch et ainsi pouvoir réparer facilement ses pitchs.