Golf & Girls 2022

golf & girls 2022Le 15 octobre prochain, en soutien à l’opération Octobre Rose, Golf & Girls prend ses quartiers à Seignosse, au cœur de la forêt des Landes.

Chaque année, Access Golf, avec le soutien de Jucad , réunit les amatrices de golf pour un parcours en Scramble à 2 agrémenté de séances de bien être. Installé initialement à Servanes (17 septembre 2022), cet événement s’exporte désormais dans les Landes pour un parcours sur le mythique Golf de Seignosse le long de la Côte d’Argent.

Golf & Girls en Scramble à 2
15 octobre 2022
Golf de Seignosse
Avenue du Belvédère 40510 Seignosse
Sur inscription (cf. contact ci-dessous)
Cadeau de bienvenue, Pause gourmande à mi-parcours, champagne et remise des prix prestigieuse…

Depuis plusieurs dizaines d’année, le mois d’octobre est dédié à la lutte contre le cancer du sein et pour sensibiliser les femmes à son dépistage. Avec un recul historique du nombre de dépistage en 2020, cette année plus que jamais il est primordial d’utiliser toutes les occasions pour en parler. C’est la raison pour laquelle Golf & Girls s’attachera à rendre visible l’opération Octobre Rose et participera, à sa mesure, à cette campagne de visibilité.

Contact presse :
Jean Baptiste jbgalland@garpcommunications.com 06 89 26 65 81
Inscriptions :
Nadine nadine@access golf.com 06 77 38 44 51




L’enseignement du golf vit-il une révolution ?

Laurent Morin, coach Albatros AcademyJ’ai eu le plaisir de rencontrer Laurent Morin, coach et créateur de la plateforme de formation de golf en ligne Albatros Academy. Il nous parle de cette révolution dans l’enseignement du golf.

DP. Bonjour Laurent, Pouvez-vous vous présenter pour que les visiteurs de Fou de Golf fassent votre connaissance ?

LM. Bonjour Dominique, je m’appelle Laurent Morin, je suis professionnel et enseignant de golf depuis 1985. J’ai joué sur le circuit de 1985 à 1997 sur le circuit national et le challenge Tour. Je suis cofondateur de l’Albatros Academy qui est une plate-forme de formation en ligne pour le golf.

DP. Vous affirmez dans vos déclarations que l’enseignement du Golf vit actuellement une révolution. Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?

LM. Le terme révolution peut paraître un peu fort !, mais il est certain que pour la première fois dans l’histoire de l’enseignement du golf, vous avez accès à un mode d’emploi complet de A à Z (8h30 de vidéos). Vous avez un accompagnement permanent avec une web conférence hebdomadaire et vous pouvez envoyer vos vidéos de contrôle sans limites.

DP. Un contenu complet et un accompagnement dans l’apprentissage existe pratiquement dans tous les domaines. Pourquoi serait-ce une nouveauté dans le golf ?

LM. Simplement, jusqu’à maintenant ça n’existait pas !

C’est uniquement lié, à la culture de l’enseignement du golf ! Les enseignants ont toujours utilisé une pédagogie de conseil et de correction, à base de Tips ou astuces si vous préférez.

Les enseignants sont des techniciens et quand ils voient un défaut, ils vont en priorité le corriger, on a toujours fait comme ça !

Mais il est vrai, que nous n’avions pas le support qui permettait de formaliser un mode d’emploi pour maîtriser son Golf. La nouveauté se situe là ! et je suis certain que ce nouveau support va modifier l’offre concernant l’enseignement du Golf et va permettre une réelle alternative pour les joueurs de golf que nous n’avons peut-être jamais connu dans l’histoire de l’enseignement.

DP. Est-ce réellement plus efficace ?

LM. En tout cas, il résout les problèmes que nous avons dans l’enseignement traditionnel. Nous connaissons tous le phénomène d’errance pédagogique chez les joueurs dans les stages et les leçons.

Dans un mode d’emploi complet, vous avez tous ce que vous devez savoir pour maîtriser votre golf et vous avez l’accès en permanence. Vous n’avez pas l’idée d’aller voir ailleurs.

Je n’oublie pas l’accompagnement dans la réussite d’un parcours de formation qui est impossible durablement en dehors de la formation en ligne avec la Web conférence.

Personnellement, dans ma formation en ligne « Je baisse mon index » je garantis le résultat, car je sais que les joueurs iront au bout du programme. Ils ont un doute ou une question, ils viennent dans la web conférence et c’est réglé. Ils ne sont jamais seuls, tout est fait pour qu’ils finissent par maîtriser leurs Golf. Ce n’est qu’une question de temps, 6, 7, 8 mois et si ça dure plus longtemps, ce n’est pas grave. On sera toujours là, pour les accompagner.

DP. Vu comme ça, ça semble fantastique ?

LM. Ça l’est vraiment, je peux vous le garantir, Dominique !

Mais je conseille aux joueurs et aux joueuses d’en prendre conscience par eux-mêmes. Justement, vous avez la possibilité de tester sans obligation d’achat la formation « Je baisse mon index » durant 30 jours.

Le seul conseil que je donne à tous, c’est d’essayer, c’est le plus important.

DP. Merci Laurent d’avoir accepté mon invitation. J’ai mis un lien du programme « Je baisse mon Index » sous cet entretien ! Il suffit de cliquer sur le lien, vous entrez votre prénom, un mail, vous créez un mot de passe et vous rentrez directement dans la formation.

https://system.albatrosacademy.com/jbmi-new/?sa=sa0004031333a12723ee7789a7e8458a4663e5076f83

Je compte sur vous pour nous faire remonter vos impressions.




Transition écologique

transition écologiqueLes licenciés de la Ffgolf ont reçu un long mail de leur président, Pascal Grizot, qui revient sur les polémiques nées cet été de la sécheresse et de certaines affirmations de politiques de tous bords.

Chères licenciées, chers licenciés,

Au cœur de l’été, alors que la France faisait face à une intense période de sécheresse, je vous ai adressé un message concernant l’arrosage de nos golfs.

Ce message se voulait une réponse aux attaques injustes et parfois violentes émises à l’encontre de notre sport par certains politiques.

Afin que vous puissiez vous forger votre propre opinion, vos propres convictions sur ce sujet évidemment sensible, je vous ai donc donné les vrais chiffres de la consommation d’eau de nos clubs. J’ai aussi porté à votre connaissance les règles strictes qui encadrent l’arrosage des parcours en cas de crise majeure.

Alors que certains de nos territoires souffraient terriblement du manque d’eau, obligeant à des solutions extrêmes, les gestionnaires de golf se sont montrés à la hauteur. Ils ont agi en acteurs responsables et solidaires. C’est un fait indéniable.

Lorsqu’il le fallait, partout en France, ils se sont attachés à préserver seulement les greens, soit 1 à 2% de la surface totale de leur golf. Les 98% restant ont pâti significativement du manque d’eau.

Parce qu’il le fallait, certains d’entre eux ont même stoppé intégralement l’arrosage. 71 de nos golfs ont été concernés. Si une partie de ces derniers ont sollicité des dérogations auprès des préfets, faisant valoir l’accord-cadre signé avec les Ministères de la transition écologique et de l’Agriculture permettant la sauvegarde des greens, ceux se situant dans des zones d’extrême tension se sont abstenus naturellement.

Les médias français se sont emparés de cette polémique naissante et nous ont tous sollicités. Bien entendu, nous leur avons répondu individuellement et en toute transparence avec des données scientifiques et techniques à l’appui. La ffgolf n’a jamais refusé la discussion et ne s’est pas repliée sur elle-même. Elle ne l’a pas fait parce qu’elle n’avait aucune raison de le faire.

Si le golf a encore des progrès à réaliser et doit accélérer sa transition écologique, il n’a pas à avoir honte ni à se cacher. En deux décennies, les golfs ont déjà réduit de 40% leur consommation d’eau, avec souvent à la clef des investissements très significatifs. Et la filière est en mouvement. Sur notre site internet et nos réseaux sociaux, très régulièrement nous mettons en lumière les engagements de nos golfs sur ce volet et sur bien d’autres encore. Je pense notamment à la préservation et la restauration de la biodiversité pour lesquelles les golfs jouent un rôle reconnu, notamment des experts du Muséum National d’Histoire naturelle et de l’Office National de la Biodiversité avec qui nous collaborons activement.

Le golf ne s’est pas caché

Le golf ne s’est pas caché aussi parce qu’il fait du bien à la planète, comme à de nombreux français. Nos détracteurs feraient bien de s’y intéresser.

Savent-ils que les terrains de golf sont des remparts à l’urbanisation excessive, comme c’est notamment le cas dans différentes zones particulièrement denses démographiquement ?

Non.

Savent-ils que les terrains de golf permettent de lutter contre l’artificialisation des sols ?

Non.

Savent-ils que les terrains de golf sont des barrières coupe-feu, comme ils l’ont prouvé à de nombreuses reprises en différents lieux au cours de la période récente ?

Non.

Savent-ils que les gazons des golfs sont des puits de captation carbone, tout comme les forêts et végétaux qui les bordent dans la majorité des situations ?

Non.

Savent-ils encore que les espaces golfiques sont des îlots de fraicheur en cas de canicule ?

Non.

Ils ne savent rien de tout cela.

Comme ils ignorent ou font semblant d’ignorer que le golf n’est pas un sport réservé à des privilégiés. Il est même devenu, en France, en 2021, le 4e sport en nombre de licenciés derrière le football, le tennis et l’équitation.

Et c’est bien la conjugaison de cette double ignorance qui les amène à prononcer des mots irresponsables et fortement néfastes à notre sport.

C’est en ignorant cette réalité que nos contempteurs se sont précipités sur des chiffres erronés pour lancer leurs attaques. La consommation d’eau annoncée de nos terrains était 36,5 fois supérieure à la moyenne nationale réelle, se référant délibérément à un rapport parlementaire obsolète, contredit depuis, par deux rapports plus récents, aussi sérieux que professionnels.

L’ignorance fait mal. Elle fait mal à nos gestionnaires qui emploient chaque jour un total de 15 000 salariés et tentent de faire prospérer leur activité comme toute entreprise française et d’en assurer la survie lorsqu’ils doivent composer avec des éléments contraires. Elle fait mal à une filière qui n’a pas attendu l’été 2022 pour accélérer sa transition écologique.

C’est pourquoi j’invite les politiques et tous ceux qui nous ont ciblés, à la retenue et à la modération. A l’analyse, plutôt qu’à l’invective. Ils font face eux aussi à des problématiques qui appellent des réponses. Christophe Bechu, Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires de France, rappelait récemment qu’un milliard de m3 d’eau potable est perdu chaque année en raison de fuites sur les réseaux vieillissants de nos communes.

Malgré tout, ce n’est pas parce que nous croyons ces attaques injustes que le golf n’a rien de plus à entreprendre en matière de gestion de l’eau. Le changement climatique, la raréfaction des ressources et la perspective du durcissement légitime de la réglementation nous obligent à faire davantage. Nos gestionnaires en sont pleinement conscients. Et soyez assurés qu’ils sauront, sous l’impulsion et avec le soutien de la Fédération, relever ce défi immense.

Des solutions, encore et toujours

Des solutions existent. Certaines sont à notre portée. Je pense notamment à :

-la constitution de réserves d’eaux pluviales : bassins de rétention, bassins versants…
la rénovation des systèmes d’irrigation : éradication des fuites, système d’arrosage sélectif et économe et adoption de nouvelles technologies.

-l’utilisation des graminées moins consommatrices d’eau et résistantes au stress hydrique ainsi qu’aux maladies.

-l’utilisation de tous les moyens efficaces pour limiter l’évaporation sur les plans d’eau.

Ce ne sont pas les seules solutions. Il en existe d’autres mais elles ne dépendent pas que de nous. Une évolution de la législation s’avère nécessaire dans bien des cas. Je pense principalement à l’utilisation des eaux usées traitées pour arroser.

Ce qui se passe chez une partie de nos voisins doit nous inspirer. Le cas de l’Espagne m’interpelle. Il y pleut beaucoup moins qu’en France. Pourtant, l’impact de la sécheresse est moindre grâce au recyclage notamment. Chez nos voisins, 14% des eaux usées sont retraitées contre moins de 1% en France. Leur agriculture et leurs golfs ne manquent ainsi pas d’eau.

Il n’y a pas de hasard. Si j’ai fait de la transition écologique un des trois piliers du projet que je porte, avec les membres du comité directeur, pour le golf français, c’est parce que cette question est déterminante pour l’avenir du golf. Jérôme Paris, ancien vice-président de la ffgolf, l’avait clairement énoncé aux débuts des années 2000 lorsqu’il avait engagé la Fédération française de golf dans cette dynamique.

L’urgence, nous la connaissons. Les enjeux, nous les connaissons. Nous agissons déjà et allons poursuivre nos efforts.

Soyez pleinement assurés de notre total engagement. Avec les équipes de la Fédération, nous travaillons sans relâche pour faire valoir nos arguments en faveur d’un développement de notre sport compatible avec les enjeux écologiques. Notre détermination est sans faille.

Je compte sur vous tous également pour être derrière vos clubs et les soutenir dans cette transition écologique, dont nous devons tous être les acteurs. Dans cet objectif, il nous faudra faire évoluer notre regard et nos pratiques, pour préserver notre bien commun, la planète.

Pascal Grizot
Président de la ffgolf




Mondial Amateurs 2022

mondial amateurs 2022Du 24 août au 3 septembre prochains, la France accueillera les Championnats du monde amateurs par équipes. Le Golf National et Saint-Nom-la-Bretèche verront évoluer les futures stars du golf mondial durant deux semaines. Ouvrez votre agenda, et bloquez déjà vos dates. L’entrée est gratuite.

Présentation.

De quoi parle-t-on ?

Les Championnats du monde amateurs par équipes sont organisés tous les deux ans par la Fédération internationale de golf. Ils se déroulent sur deux semaines consécutives, chacune étant dédiée à l’un ou l’autre des championnats, hommes ou femmes. Ils sont strictement réservés aux amateurs, et ouverts par définition à tous les pays du monde. En 2022, 57 nations chez les dames et 72 chez les messieurs participeront à l’édition Française. Avec seulement trois engagés dans chaque équipe, le simple fait d’être sélectionné est déjà un accomplissement en soi.
Certains des joueurs et joueuses présents sont des futures têtes d’affiche du golf mondial, et ce sans qu’il y ait forcément besoin d’attendre longtemps : durant cette édition 2018, des noms tels que Collin Morikawa, Viktor Hovland, Nicolai et Rasmus Højgaard ou Jennifer Kupcho (ces trois derniers étaient d’ailleurs repartis titrés) étaient présents sur les leaderboards… pour ne citer qu’eux.
Pour beaucoup d’entre eux, les Mondiaux représentent même la dernière échéance importante dans les rangs des amateurs, ainsi que l’une des ultimes occasions de porter les couleurs de leur pays. Et les Français ne font pas exception.

Où et quand est-ce que ça aura lieu ?

La France a été désignée pour organiser l’édition 2022 de ces Championnats du monde, qui feront ainsi leur troisième visite dans l’Hexagone. Saint-Germain avait reçu l’édition inaugurale des Mondiaux par équipes féminins en 1964, et le Golf National avait reçu les deux épreuves en 1994 (ainsi que le Golf de La Boulie pour le tournoi masculin).
Pour 2022, les championnats se dérouleront conjointement au Golf National (sur le parcours de l’Albatros) et à Saint-Nom-la-Bretèche (sur le parcours rouge). Les dames ouvriront le bal du 24 au 27 août 2022, et les messieurs le clôtureront du 31 août au 3 septembre.

Comment ça marche ?

Contrairement à d’autres championnats par équipes (et notamment les championnats d’Europe), la formule est assez simple : tout se joue en stroke play, en 72 trous sur quatre jours. Chaque équipe est composée de trois joueurs, et le total de chaque journée est constitué par les deux meilleures cartes.
Surtout, lors de chaque journée, les joueurs d’une même équipe s’élancent systématiquement les uns à la suite des autres, dans trois parties consécutives. Cela permet notamment aux supporters (citons à tout hasard ceux des équipes de France…) de venir suivre les parties sans avoir à naviguer aux quatre coins du parcours.

Et qui joue où ?

En raison du nombre de nations engagées, depuis maintenant bon nombre d’éditions, deux parcours sont nécessaires à l’organisation des Championnats. Lors des deux premiers tours, la moitié des équipes évoluera sur l’Albatros, et l’autre moitié à Saint-Nom-la-Bretèche (avec permutation entre les deux journées).
Les tournois n’ont pas de cut à proprement parler, autrement dit tout le monde reste dans le même classement tout au long de l’épreuve. Néanmoins, après le premier tour, le tableau est scindé en deux : la première moitié jouera à Saint-Nom-la-Bretèche le troisième jour, et au Golf National le quatrième. L’autre moitié fera l’inverse, tout en gardant la possibilité de remonter dans la première partie du leaderboard.

mondial amateurs 2022Et la France dans tout ça ?

Que ce soit chez les dames ou chez les messieurs, la préparation de ces Mondiaux à domicile a déjà débuté dans le clan français. Tous ont, dans tous les cas, de glorieux aînés dans les pas desquels se mettre : la France a remporté l’Eisenhower Trophy (le trophée du tournoi masculin) en 2010, grâce à Alexander Levy, Romain Wattel et Johann Lopez-Lazaro ; elle s’est également adjugé la première édition de l’Espirito Santo Trophy (le tournoi féminin) en 1964, avec dans ses rangs Catherine Lacoste, Brigitte Varangot et Claudine Cros, ainsi que l’édition 2000, avec Maïtena Alsuguren, Virginie Auffret et Karine Icher. Rendez-vous à partir du 24 août.




Les Reines du Golf s’exposent à Deauville

les reines du golfÀ l’occasion de la 32e édition du Lacoste Ladies Open de France, la ville de Deauville a fait appel à Paris Match pour concevoir une exposition photographique « Les Reines du Golf » sur les portes des cabines de bain mythiques des Planches de Deauville. Audrey Hepburn, Rita Hayworth, entre autres, s’illustrent club en main dans cette discipline sportive, exigeante, relaxante et civilisée. Les quinze photographies ont pour décor les plus beaux écrins de nature comme celui du Golf Barrière de Deauville ou se tiendra l’événement du 15 au 17 septembre. Elle rassemblera les cent huit meilleures joueuses du Ladies European Tour, qui tenteront de succéder à la tenante du titre, la N°1 française Céline Boutier.

DEAUVILLE X PARIS MATCH

Les liens entre la célèbre station balnéaire normande et Paris Match sont historiques. Le magazine lui a consacré huit pages à son lancement, en1949, ainsi qu’à l’occasion du 100e anniversaire de la ville, en 1960. En 2020, le magazine fête également les 160 ans de la Ville en proposant au public l’exposition photographique « Deauville dans l’oeil de Paris Match ».
L’histoire se prolonge aujourd’hui avec l’exposition photo « Les Reines du golf ». Dans notre pays, près d’un golfeur sur trois est désormais une golfeuse, soit environ 118 000 licenciées : un phénomène de société qui n’a pas échappé à la rédaction de Paris Match !

UNE EXPOSITION SUR-MESURE

En collaboration étroite avec la direction de la communication de la Ville de Deauville, Marc Brincourt, commissaire, des expositions Paris Match, a bâti une scénographique originale et sur-mesure : 15 clichés déployés sur les portes des cabines de bain le long de Planches de Deauville mettant à l’honneur à la fois des illustres golfeuses, des amatrices anonymes et des sportives aguerries. Ces tirages, imprimés à la dimension des portes des cabines sont visibles tout l’été.

« Choisir la photo qui procurera le plus d’information et d’émotion, c’est la mission quotidienne du service photo de la rédaction de Paris Match. L’oeil de Paris Match a choisi 15 clichés souvent insolites qui nous font sourire ou nous font rêver, que le magazine est heureux de partager à tous les visiteurs de Deauville, dans ce lieu si emblématique que sont les portes des cabines des planches. »
Gwenaëlle de Kerros
Directrice du Développement de Paris Match

LE GOLF AU FEMININ

Le premier tournoi de golf féminin, organisé par des épouses de pêcheurs de la bourgade écossaise de Musselburgh, remonterait à 1811. Le premier club dédié aux femmes a été créé à Saint-Andrews en 1867.
En 1908, Pauline Roissard de Bellet est devenue, à 16 ans, la première championne de France Dames. Il a fallu attendre 1929 et l’Open de France pour qu’une professionnelle, la Française Geneviève le Derff, se confronte à la gente masculine.

Dans notre pays, près d’un golfeur sur trois est désormais une golfeuse, soit environ cent-dix-huit mille licenciées. Définitivement, le golf, discipline exigeante, relaxante et civilisée, n’est plus un sport réservé aux hommes. Loin de là.
A travers le temps, quelques stars charismatiques se sont d’ailleurs illustrées club en mains, alliant glamour et qualités sportives : Coco Chanel, Audrey Hepburn, Rita Hayworth mais aussi, plus proches de nous, Eva Longoria, Catherine Zeta-Jones, Nicole Kidman, Cameron Diaz, Céline Dion. Autant de célébrités, dont certaines ont brillé au Festival du film américain de Deauville, autant de golfeuses régulières, photographiées dans des écrins de nature sur les plus beaux parcours du monde.

L’EVENEMENT GOLFIQUE DE LA RENTREE EST A DEAUVILLE

Le Lacoste Ladies Open de France fait partie du circuit professionnel européen féminin Ladies European Tour, auquel elle est inscrite depuis sa première édition en 1987. Pour la 32e édition qui se jouera à Deauville, 108 joueuses de 25 pays parmi les 5 continents tenteront de succéder à la tenante du titre Céline Boutier, n° 1 française et actuelle 17e mondiale. En jeu : avoir son nom gravé sur le trophée du tournoi, pour y rejoindre quelques-unes des plus grandes championnes du golf féminin, à l’instar de l’Américaine Nelly Korda, médaillée d’or aux derniers Jeux olympiques, qui a remporté l’épreuve en 2019. Pour ce nouveau chapitre deauvillais du tournoi, Lacoste Ladies Open de France souhaite aussi créer des connexions qui aillent au-delà du golf. Ainsi, cette 32e édition sera placée sous le signe de l’art, en exposant sur le site du tournoi des oeuvres uniques grand format, faisant écho à la discipline, que le public pourra découvrir en déambulant librement sur le parcours.

TROIS IMAGES EMBLEMATIQUES DE L’EXPOSITION

Audrey Hepburn reines du golf
Rita Hayworth reines du golf
Anne Lanzerac reines du golf

 




Sécheresse, Pascal Grizot fait une mise au point

sécheresse pascal grizot fait une mise au pointAlors que la sécheresse sévit en France, Pascal Grizot, Président de la Ffgolf, réagit aux attaques injustes proférées ces derniers jours et fait le point en toute transparence.

Chers licenciés,

Alors que la sécheresse sévit en France, s’accompagnant de restrictions d’usage de l’eau bien légitimes, notre sport, qui agit pourtant en pleine responsabilité et solidarité dans ce contexte difficile, subit actuellement de la part de certains hommes politiques des attaques injustes dans les médias concernant l’arrosage des golfs.

Même si vous êtes les premiers témoins des efforts très importants de nos golfs dans ce domaine, il m’a semblé important de partager avec vous, en toute transparence, les chiffres et informations que je m’évertue, avec les équipes de la Fédération, nos organes déconcentrés (Ligues et Comité Départementaux), nos clubs et les organismes représentatifs de la filière, à diffuser largement ces derniers jours auprès des Français afin que la vérité soit rétablie et l’image de votre discipline préservée.

Consommation moyenne en eau de nos golfs sur une année

La consommation nationale moyenne annuelle d’eau d’un golf est de 25 000 m3 par an et par tranche de 9 trous. Elle est ainsi très éloignée du chiffre communiqué ces derniers jours par certains hommes politiques évoquant une consommation de 5000 m3 par jour soit 1 825 000 m3 par an. Il nous est bien difficile de rester sans réactions face à des chiffres 36,5 fois supérieurs à la réalité. Seule l’ignorance peut conduire à de tels écarts.

Consommation d’eau de nos golfs en cas de sécheresse et surfaces arrosées

En cas de sécheresse dure et prolongée, seuls les greens (essentiels à la survie du parcours) sont arrosés. Ils ne représentant qu’1 à 2% de la surface totale du golf. Comme moi, vous comprenez dès lors que 98 à 99% de la surface totale du golf ne sont en revanche plus arrosés, ce qui éclaire suffisamment le sens de responsabilité de tous les acteurs de la filière golf. Le besoin minimal pour la survie des greens d’un golf de 18 trous par forte chaleur, est de 100 à 120 m3 par jour (la surface des greens d’un golf 18 trous représente 1 à 1,5 hectare). Par conséquent, pour un golf 9 trous, le besoin minimal pour la survie des greens est de 50 à 60 m3 / jour. L’arrosage prend en compte l’évapotranspiration due à la température, à l’ensoleillement et au vent qui détermine le calibrage du bon volume vital nécessaire.

Mesures de restrictions selon les différents paliers d’alerte en période de sécheresse

Le golf, comme tous les usagers de l’eau, dépend de 4 niveaux de restrictions fixés par les DDT (vigilance, alerte, alerte renforcée, crise). En seuil de crise, il est interdit d’arroser les golfs. Les greens peuvent être préservés, sauf en cas de pénurie d’eau potable, par un arrosage « réduit au strict nécessaire » entre 20h00 et 8h00, et qui ne pourra représenter plus de 30 % des volumes habituels. Un registre de prélèvement devra être rempli hebdomadairement pour l’irrigation. Un Accord-Cadre national pour la période 2019-2024 FFGOLF, GEGF, GFGA / Ministères de la transition écologique, des Sports et de l’Agriculture préconise la mise en œuvre de mesures de restrictions d’arrosage adaptées aux besoins vitaux des structures golfiques et aux particularités de leurs surfaces engazonnées. Comme indiqué expressément dans l’accord, le respect de ces mesures n’est pas obligatoire, les préfets pouvant prévoir des mesures plus contraignantes s’ils estiment qu’une pénurie d’eau potable est à craindre, ou que les conditions locales l’imposent. Les maires peuvent également prévoir des mesures plus contraignantes.

Ci-dessous, le tableau complet des limitations des usages de l’eau pour les golfs :

Interdiction totale d’arrosage

En application des arrêtés sécheresse en vigueur dans certains départements, et malgré notre accord cadre, nous constatons que l’arrosage des terrains de golfs est désormais interdit au sein de ces territoires pour une durée pouvant aller jusqu’au 31 octobre 2022. L’interdiction totale d’arrosage est l’équivalent d’une fermeture administrative pour les golfs concernés qui entraîne inévitablement la perte de l’outil de production des entreprises gestionnaires de golf.

C’est pourquoi chaque golf concerné demande aujourd’hui une dérogation individuelle permettant le sauvetage des surfaces les plus fragiles et les plus coûteuses à travers les mesures prévues au stade 4 de notre accord cadre :

  • Arrosage réduit au strict nécessaire et uniquement des greens
  • Arrosage uniquement entre 20h00 et 8h00
  • Arrosage ne pouvant représenter plus de 30% des volumes habituels
  • Relevés de consommation d’eau quotidienne
  • Aucun arrosage en cas de pénurie d’eau potable

Des démarches que la Fédération française de golf suit avec la plus grande attention tentant avec discernement de mener des dialogues quotidiens avec l’Etat et les collectivités pour la recherche de solutions.

Si nous cherchons à obtenir des dérogations au cas par cas, quand la situation au niveau local, le permet, en aucun cas, nous en sollicitons quand la pression est telle que les populations doivent être ravitaillées en eau par des citernes.

Enjeu du maintien de l’arrosage des greens

Le golf est une activité sportive de loisir marchand impliquant une filière économique qui doit préserver son activité au risque de créer un impact non négligeable sur sa filière (chômage, perte d’exploitation, faillite). Il convient de rappeler que la filière économique que nous défendons représente un poids économique de plus de 1.5 milliard d’euros en France et assure 15 000 emplois dont 7 500 emplois directs sur le terrain. Il s’agit à 83% d’emplois en CDI dont 61% d’emplois d’ouvriers, et non délocalisables. Le parcours étant l’élément numéro 1 de l’outil économique, il est nécessaire de le préserver en passant par un arrosage minimal vital. Seul le green reste l’élément essentiel pour garantir une pratique de l’activité, d’où les accords passés avec les pouvoirs publics pour pouvoir les préserver au maximum.

Un green de golf est du gazon planté sur un sol sableux et drainant. Pas d’arrosage pendant plusieurs jours conduit à la mort toutes les graminées présentes sur les greens car ces plantes ont de faibles enracinements ce qui les rend extrêmement sensibles à la sécheresse et oblige à des arrosages fréquents. La mort des greens en période estivale conduit à une fermeture de la structure et perte d’exploitation pendant 6 mois jusqu’au printemps de l’année suivante car il faut au moins 3 mois de végétation active (température moyenne du sol >10°C) pour obtenir un green de qualité normale à partir d’un nouveau semis. A cette perte d’exploitation de 6 mois, s’ajoutera le coût de la remise en état :

  • Par semis le coût moyen de rénovation est de l’ordre 3€ HT le m², soit 30.000 € pour 1 hectare de green
  • Par placage, le coût moyen est de l’ordre de 30 € HT le m², soit 300.000 € pour un 1 hectare de green…
  • Pendant ces travaux, les golfs devront être fermés avec toutes les conséquences induites en matière d’emploi.

Golfeurs et exploitants unis pour agir en responsabilité

Alors que le golf est désormais 4ème sport en nombre de licenciés en France, loin des clichés que certains veulent tenter encore de lui coller, et qu’il fait partie des disciplines Olympiques de 2024, un faux débat d’écologie de classe initié par certains politiques vise à nous distinguer artificiellement des autres sports de gazons collectifs et populaires qui, sans les nommer, ne sont pas visés par nos opposants. Par ailleurs, ne pas tenir compte des travaux engagés depuis les sécheresses de 2003 et 2005, avec tous les Ministères concernés quelle que soit leur couleur politique, depuis plus de 20 ans nous paraît injuste vis-à-vis des golfs qui ont rempli leurs objectifs de réduction de la consommation en eau de 30% chaque année avec des investissements considérables.

Nous continuerons sans relâche à rétablir la vérité avant de poursuivre en acteurs responsables la transition écologique que nous avons depuis longtemps entamé avec notamment une gestion raisonnée de la ressource en eau.

A ce titre, de manière plus structurelle, nous allons prendre l’attache des Ministères concernés et agences de bassin pour créer un fonds d’investissement permettant de financer la rénovation des systèmes d’irrigation, moins consommateurs, ainsi que la création de bassins de rétention pour les golfs.

Et je veillerai avec l’ensemble des acteurs de la filière à rappeler à tous les golfeurs combien il est fondamental de s’habituer désormais à jouer sur des surfaces moins vertes et plus fermes. Regardez la qualité des tournois organisés par le Royal and Ancient sur les parcours britanniques. L’ensemble des surfaces sont jaunies par la sécheresse, à l’exception des greens. Les Open Britanniques Féminin et Masculin, ont toujours été et sont aujourd’hui plus que jamais les épreuves sportives de référence de notre discipline, malgré la tension sur la ressource en eau.

D’une certaine manière, c’est un retour aux sources autant que le sens de l’histoire. Je sais pouvoir compter sur chacun d’entre vous dans l’intérêt collectif.

Pascal Grizot




Clean Ball S’O

clean ball s'oJe teste le Clean Ball S’O depuis plusieurs semaines et voici mes conclusions.

Mais d’abord, qu’est-ce que c’est?

Clean Ball S’O, un nouveau produit/concept qui allie la praticité à l’aspect mental du jeu! Clean Ball S’O permet de nettoyer sa balle de golf et ses fers tout en favorisant sa performance mentale. Bon pour le Jeu, pour le Moral et pour la Planète…

Clean Ball S’O pour une balle et des clubs toujours propres !

Sur les fairways et surtout sur le green, une balle toujours propre, c’est déjà un axe de performance.
Toujours à portée de main et pratique à positionner dans une poche arrière ou sur le sac, particulièrement lors du putting, pour une balle propre et plus précise dans sa trajectoire.

Mon ressenti

Tout d’abord, cela se présente comme une poche étanche dans laquelle vous pourrez glisser une balle ou vos têtes de club pour les nettoyer. Très facile d’utilisation, vous l’accrochez à votre chariot (comme moi sur la photo), sur votre sac ou carrément à un passant de ceinture de votre pantalon. Bon je déconseille cette dernière façon de l’accrocher car comme il faut le mouiller pour qu’il soit efficace, vous allez vite avoir le coté du pantalon trempé.

Donc avant de partir sur le parcours, passez aux toilettes du club et mouillez le abondamment. Perso je le remplis d’eau puis je le presse pour en vider les 4/5èmes et partir avec une poche bien mouillée. Puis je nettoie mes clubs et mes balles avant d’arriver au départ du trou n°1.

Sur le parcours, j’ai vite pris l’habitude de nettoyer ma balle avant chaque départ, puis avec le temps, j’ai longe aussi mes têtes de clubs pour qu’elles soient toujours propres.

Je l’ai testé en cet été de canicule et je le remouillais au point d’eau du trou n°10 du Golf de Charmeil car les cotés sèchent assez vite même si le fond reste toujours un peu humide.

Après plusieurs parcours (une bonne dizaine) d’utilisation, je ne dirais pas que c’est devenu indispensable à mon golf, mais le geste de plonger la balle dedans est quasiment devenu un réflexe.

Par contre, je n’ai pas ressenti les 4C de la performance qui sont décrits ci-dessous dans le descriptifs des bienfaits du produit. Autre point à améliorer à mon avis, le mousqueton d’attache est en aluminium léger et à mon avis il ne durera pas longtemps, le golfeur n’étant pas souvent un modèle de douceur et de délicatesse, même si le créateur m’a certifié qu’il durerait dans le temps. De plus le mien reste attaché à mon chariot en permanence.

Au final, c’est un bon produit fabriqué dans des produits éco-responsables et ça, c’est bon pour la planète.

Suite de la description

Bon pour le mental

Lors de son geste récurrent de nettoyage (de la balle ou d’un club), le golfeur visualise les 4C de la performance :
Calme – Confiance – Concentration – Combativité
Le joueur déclenche ainsi plus facilement sa routine sportive (tel un pilote qui relit sa check-list avant chaque nouveau départ) et revient à l’essentiel pour le bon jeu.
L’état (re)devient plus positif, plus serein et donc plus performant sur le parcours.

Un produit éthique et responsable en termes environnementaux et sociaux.

Clean Ball S’O est fabriqué de manière éco-responsable en France près de Lille dans les Hauts de France.
Très attachée aux relations humaines, l’équipe a confié la confection de ses produits à l’atelier de réinsertion par le travail Confectio, groupe Vitamine T, basé à Lesquin (59).
Ce produit/concept solidaire est également pensé pour le handiSport et plus particulièrement le HandiGolf car il est compact et ultra léger. Karine Boucher, championne de Handigolf utilise Clean Ball S’O !
Et la conception et les coupes de tissu sont optimisées pour favoriser le zéro déchet.

Un véritable concept

L’acquéreur, via un QR-Code, devient membre d’une communauté et accède ainsi à des vidéos qui offrent des trucs et astuces autour de la préparation mentale
Franck Leroy, à l’origine de Clean Ball S’O est joueur de golf et coach certifié intervenant notamment en préparation mentale pour les sportifs de haut niveau. Franck est formé aux neurosciences et détenteur d’un D.U de Lille en préparation mentale et psychologie du sportif.

Clean Ball s’O en vidéo

Présentation technique

  1. ▪ Mousqueton pour être attaché à la ceinture ou au sac de golf
  2. ▪ Tissu intérieur nettoyant en polaire douce grattée
  3. ▪ Tissu déperlant sur sa face extérieure pour affronter la pluie et éviter le transfert d’humidité dans la poche.
  4. ▪ Lavable en machine à 30°
  5. ▪ Livré emballé dans une enveloppe 100% compostable

Prix de vente public : 14,95 €
E-boutique Clean Ball s’O : www.capbonsens.fr
Contact presse : Laurence Verdier Laurenceverdiercom@gmail.com
Tél. : + 33 6 07 58 40 02




Brooke Henderson gagne l’Amundi Evian Championship

brooke henderson gagne amundi evian championshipAprès une journée qui a vu jusqu’à cinq joueuses à égalité en tête, c’est Brooke Henderson qui est finalement passée devant. La joueuse de 24 ans de Smiths Falls, Ontario, Canada, a réussi un putt de birdie de 12 pieds au 72e trou pour remporter l’Amundi Evian Championship 2022 d’un coup sur la rookie du circuit américain de la LPGA Sophia Schubert.

Avec cette victoire, Henderson, qui a réussi à jouer dans le par (71) au dernier tour pour terminer à -17 au total, a remporté son deuxième titre majeur et le premier depuis le Championnat PGA féminin KPMG 2016. Bien qu’elle ait toujours dit qu’elle était satisfaite de sa carrière, la joie de vivre – et le soulagement – qui accompagnaient la victoire étaient aussi clairs que le jour.

« Être assise ici en étant vainqueur à deux reprises d’un Majeur  est juste un sentiment irréel », a déclaré Henderson après la victoire, trempée de champagne Veuve Clicquot et l’eau d’Evian qui coule à flot à l’Amundi Evian Championship. « Mon entraîneur, mon père et le soutien de ma mère, et bien sûr Brit (Henderson, sa sœur et son caddy) qui est là tout le temps avec moi, c’est juste incroyable, et ça va être vraiment cool quand nous pourrons tous célébrer ensemble »

Henderson a commencé la journée avec une avance de deux coups sur la Coréenne So Yeon Ryu, mais l’avantage n’a même pas duré un trou quand Henderson a démarré par un bogey quand Ryu faisait birdie. Les 17 trous suivants étaient une alternance de meneuses, avec Henderson, Ryu, Schubert, Nelly Korda et Mao Saigo détenant toutes une partie de l’avance.

Henderson a de nouveau trébuché avec un rare 4 putts pour un double bogey au n°6, un moment qui aurait pu ébranler n’importe quel joueuse de moindre importance. « J’ai essayé de ne pas trop me laisser déranger, mais évidemment, cela vous secoue un peu », a-t-elle déclaré. Sa pensée positive a clairement fonctionné, car elle a rebondi tout de suite avec un birdie au trou suivant.

Henderson a ensuite remis les gaz sur les cinq derniers trous. Elle a réussi des birdies consécutifs les 14 et 15, un moment qu’elle a dit avoir visé toute la journée. « J’attendais avec impatience ce coup presque toute la journée », a-t-elle déclaré à propos de son coup de départ hybride sur le 14e par-13. «J’avais l’impression que je pouvais en frapper un de près là-bas, et j’étais heureux quand j’ai pu marcher là-haut et ce n’était que je suppose à environ 5 pieds. Le putt a presque fait le tour du trou, mais il est tombé, et cela m’a calmé et m’a fait penser, faisons-en autant que nous le pouvons ici.

Henderson est devenue la première golfeuse canadienne, homme ou femme, à remporter plus d’un titre majeur, et a prolongé son avance en tant que golfeuse professionnelle canadienne la plus victorieuse de tous les temps, homme ou femme, avec 12 victoires. Et avec le chèque du gagnant de 1 million de dollars, Henderson est passé à 10 237 150 $ de gains en carrière, devenant le 24e joueur de l’histoire du circuit de la LPGA à franchir le seuil des 10 millions de dollars.

« En 2016, gagner le premier majeur a changé ma vie. Mon classement mondial a grimpé en flèche et je viens de recevoir une tonne d’attention supplémentaire de la part des fans et des médias. Cela m’a aussi donné l’impression que j’appartenais vraiment ici et que je pouvais disputer de grands championnats majeurs et rivaliser avec les meilleurs au monde, ce qui est une sensation incroyable », a déclaré Henderson. « Cela fait longtemps et en commençant rapidement cette semaine, c’était génial d’être en tête du classement d’un tournoi majeur. J’ai juste essayé de pousser cette excitation aussi loin que possible.

Cinq joueuses ont terminé à égalité au troisième rang à -15 – les anciens champions d’Evian Lydia Ko et Hyo Joo Kim, ainsi que Carlota Ciganda, Charley Hull et Mao Saigo. Korda s’est évanoui à égalité pour la huitième place à -13, avec Jin Young Ko, n ° 1 du classement Rolex. La championne d’Evian 2021, Minjee Lee, n’a jamais vraiment commencé à défendre son titre, terminant T43 à -3.