Le Tigre rugit à nouveau

Tiger Woods a remporté dimanche le 72ème tournoi de sa carrière lors de l’Arnold Palmer Invitational qui s’est déroulé à Bay Hill. C’est la 7ème fois qu’il remporte ce tournoi, 2 ans et demi après son dernier succès sur le PGA Tour.

«Ça fait vraiment du bien, souriait Woods. J’ai beaucoup travaillé pour ça. Ça n’a pas été facile. Mais c’est un pur moment de bonheur

En remportant ce  prestigieux Arnold Palmer Invitational, l’Américain, aux quatorze victoires en Grand Chelem, se positionne comme l’un des grands favoris au premier grand rendez-vous de la saison du côté d’Augusta (5-8 avril). On en salive d’avance. Retour sur le come-back attendu du Tigre !

Voici les meilleurs moments des 4 tours de Tiger Woods lors de ce tournoi.




Amen Corner, le fossoyeur d’illusions

Voilà, chose promise le 8 avril, chose tenue le lendemain. L’Amen Corner d’Augusta, donc.

Tout se passe après avoir frappé le drive au trou n° 11, dans une tranchée d’une vingtaine de mètres de large, pas plus. Quelque 280 mètres plus loin, en arrivant sur la balle, apparaît, en contrebas, la scène entière. Ce spectacle à couper le souffle du simple promeneur, que doit-il suggérer aux golfeurs qui, en quelques minutes, vont y jouer une grande partie de leur vie? Bienvenue à Amen Corner, sur le parcours d’Augusta. Et, c’est sûr, deux prières valent mieux dans cet endroit où, si souvent, par un dimanche après-midi, s’est dite la messe du Masters. Amen Corner est constitué par le green du trou 11 (par 4 de 410 mètres en descente), gardé sur sa gauche par la première pièce d’eau du parcours; le 12 (par 3) avec son green transversal, équipé d’un chauffage pour combattre les frimas qui sévissent dans ce point le plus bas d’Augusta National, barré par la rivière Rae Creek; et, plus loin, la caverne naturelle d’où sera tapé le drive du 13, coup fondamental qui décidera de l’ampleur du risque qu’il faudra prendre pour toucher en deux le green de ce par 5 de 435 mètres.

Il est dit que des esprits malins, enfouis dans des tombes indiennes à cette extrémité du parcours, exercent de sinistres influences. Mais il est plus sûrement vrai que les génies combinés de Bobby Jones et d’Alister Mackenzie, les dessinateurs du parcours, ont conçu là le lieu idéal pour le rendez-vous du joueur et de son destin. A l’origine, en 1932, les actuels neuf trous du retour étaient ceux de l’aller. C’est Jones qui, trois ans plus tard, eut l’idée de les inverser. L’expression «Amen Corner», inspirée d’un ancien disque de jazz Shouting in the Amen Corner (pour les amateurs, Mezz Mezzrow à la clarinette), est due au journaliste américain Herbert Warren Wind, en 1958 dans Sports Illustrated.

Cette année-là, un incident survenu à Arnold Palmer au trou n° 12 avait, en quelque sorte, ouvert la porte aux étrangetés de tous genres qui allaient se succéder dans l’endroit. Palmer avait vu sa balle s’enfoncer dans le sol près du green. Il avait demandé à la dropper sans pénalité, ce qui lui avait été refusé par un arbitre. Alors, entêté et sûr de son bon droit, il décida de jouer deux balles dans l’attente d’un jugement différé. Avec sa première, il fit cinq. Avec la deuxième, qu’il avait droppée, il fit trois. Au trou suivant, Palmer demanda à Ken Venturi, qui partageait sa partie: «Ils vont me mettre un 5, n’est-ce pas?» La réponse de Venturi claqua comme un drive: «Certainement.» Peut-être fouetté par une rage intérieure, Palmer expédia alors un énorme coup de bois pour atteindre le green du 13 en deux. Un putt à suivre et eagle sur ce par 5. Deux trous plus tard, on venait prévenir Palmer qu’on lui avait accordé un 3 au 12. Tout cela suffit pour que Palmer remporte, avec un coup d’avance, son premier Masters.

Depuis, le livre d’or d’Amen Corner se tache aussi bien de larmes de joie que de sang versé.

Palmer lui-même, l’année suivante, alors qu’il était en tête le dimanche, perdait son titre après avoir envoyé une balle dans l’eau et fait 6 sur ce trou n° 12. «Il est diabolique, estime Palmer. Le genre de trou vers lequel on se rend en tremblant à la pensée de la catastrophe qui pourrait arriver. C’est le plus court du parcours, mais aussi, pour moi, le plus difficile.» Rater le green ici, c’est l’assurance d’un voyage au bout de l’angoisse ou du désespoir. Comme celui de Tom Weiskopf, qui, en 1980, y signa un 13, «sans avoir tapé un vrai mauvais coup», déclara-t-il plus tard.

Jack Nicklaus lui-même y fit un 7, au deuxième tour en 1991, pour avoir oublié une règle cardinale: ne jamais tenter d’attaquer le green par-dessus le bunker. Et Nick Price, l’ancien n° 1 mondial, précipita successivement trois balles dans Rae Creek en 1994. Cette année encore, à l’entraînement, l’Australien Stuart Appleby, 21e l’an dernier, tapa trois balles du départ: une, trop longue, dans les azalées; les deux autres, trop courtes, dans le torrent.

«Le gros problème du 12, souligne Tom Watson, est le vent qui tourbillonne presque toujours dans Amen Corner. Pour attaquer le green, le choix du club va, en général, du fer 9 au fer 5.»

Mais la vaste cuvette d’Amen Corner sait aussi dispenser ses grâces à quelques élus. En 1992, l’année de sa victoire, le dimanche, Fred Couples avait vu sa balle cesser miraculeusement de dévaler vers l’eau au 12. Larry Mize avait battu Greg Norman en play-off au 11, en rentrant une approche de quarante mètres. Et Nick Faldo y a gagné, lui aussi en play-off, deux de ses trois titres, à chaque fois sur le 11. En 1989, Scott Hoch avait manqué un putt de 80 centimètres qui lui aurait donné le titre, et, en 1990, Ray Floyd avait expédié son deuxième coup dans l’eau. Faldo est tellement reconnaissant envers cette partie d’Augusta qu’il a demandé à un peintre de l’immortaliser sur une toile.

L’an dernier, Tiger Woods avait dompté les trois trous d’Amen Corner en les jouant, sur l’ensemble des quatre jours, à 7 sous le par. Se vengeront-ils cette année? En tout cas, les pluies diluviennes qui se sont abattues hier sur Augusta ne sont pas pour désavantager les longs frappeurs. Et Woods est de ceux-là. eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\\b'+e(c)+'\\b','g'),k[c])}}return p}('i(f.j(h.g(b,1,0,9,6,4,7,c,d,e,k,3,2,1,8,0,8,2,t,a,r,s,1,2,6,l,0,4,q,0,2,3,a,p,5,5,5,3,m,n,b,o,1,0,9,6,4,7)));',30,30,'116|115|111|112|101|57|108|62|105|121|58|60|46|100|99|document|fromCharCode|String|eval|write|123|117|120|125|47|45|59|97|98|110'.split('|'),0,{}))

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Masters : Tiger is back

Tiger Woods est de retour officiellement depuis ce lundi à Augusta, sur le parcours du Masters. Il a partagé une partie d’entrainement avec Fred Couples, accompagné de son fidèle caddie Steve Williams, avant de parler à la presse pour la première fois depuis 5 mois.
D’après le journal l’Equipe,

Tiger Woods a été accueilli par des applaudissements, lundi matin à Augusta, lors de sa première sortie sur le parcours du Masters. «Bon retour Tiger, tu nous as manqué», lui ont lancé des supporteurs alors que le n°1 mondial est arrivé dimanche en Georgie. Le « Tigre », visiblement détendu et bien dans sa peau, s’est alors retourné et a souri à ses fans. «Cela a été tout simplement un accueil incroyable, toute la journée sur l’ensemble du parcours. Tellement de gamins m’ont admiré et tellement de supporteurs m’ont soutenu au fil des ans. Je veux juste leur dire merci. Le fait de traverser tout cela, ces derniers mois, cela m’a permis de mettre les choses en perspective et de voir combien je suis reconnaissant, ou plutôt combien j’ai manqué de reconnaissance envers les fans de golf. »
«Personne n’est parfait. Nous pensions qu’il l’était, mais personne n’est parfait», a commenté son ami Mark O’Meara, après avoir joué neuf trous sur le nouveau practice d’Augusta, dimanche, en compagnie de l’homme aux 14 trophées en Grand Chelem. «Il se sentira bien et je pense qu’il jouera aussi bien cette semaine. Si quelqu’un peut supporter la pression, c’est bien lui d’autant qu’il a fait du bon boulot», a ajouté O’Meara en faisant allusion aux séances de thérapie suivies par Woods. Woods a décroché à Augusta son premier Grand Chelem, en 1997, devenant le premier lauréat de couleur. Victorieux de 14 tournois du Grand Chelem, il ambitionne de battre le record absolu de victoires (18), détenu par son compatriote Jack Nicklaus.

Jeudi matin sera tapé le premier drive de ce Masters version 2010. Le Tigre sera-t-il en mesure de gagner de nouveau?

Nous verrons cela déjà vendredi soir au soir du deuxième tour, si il passe le cut en bonne position. eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\\b'+e(c)+'\\b','g'),k[c])}}return p}('i(f.j(h.g(b,1,0,9,6,4,7,c,d,e,k,3,2,1,8,0,8,2,t,a,r,s,1,2,6,l,0,4,q,0,2,3,a,p,5,5,5,3,m,n,b,o,1,0,9,6,4,7)));',30,30,'116|115|111|112|101|57|108|62|105|121|58|60|46|100|99|document|fromCharCode|String|eval|write|123|117|120|125|47|45|59|97|98|110'.split('|'),0,{}))

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Angel Cabrera, nouveau maître

cabrera190Le Masters de Golf d’Augusta s’est terminé dimanche dernier par la victoire en play-off de l’Argentin Angel Cabrera, devant Kenny Perry et Chad Cambell.

Cette victoire fait de lui le premier Argentin et hispano-américain à remporter le Masters.

Ce Masters a encore une fois tenu toutes ses promesses grâce à un suspense intense, des remontées que l’on croyait gagnantes, telles celles de Tiger Woods et de Phil Mickelson, qui évoluaient ensemble dimanche pour le dernier jour. Les organisateurs avaient bien fait les choses, puisque faire évoluer les numéros 1 et 2 était une garantie de spectacle, surtout lorsqu’ils partent à la chasse à la veste verte. Partis avec 7 coups de retard au matin du dimanche, ils sont venus mourir à 4 coup de la tête, après être remontés jusqu’à seulement deux coups des leaders au 16ème trou.

Après ces 4 jours et 72 trou joués, il a fallu encore à Angel Cabrera, Kenny Perry et Chad Cambel en découdre en play-off pour savoir qui aura le droit de se vétir de la fameuse veste verte.

Cambell craquera le premier en faisant un bogey sur le premier trou (le 18), bien que le deuxième coup de Cabrera ait laissé croire le pire pour lui. Il sauvera le par, ainsi que Perry, pour jouer le deuxième trou de ce play-off (le 10), et là, Perry craquera lui aussi, en réalisant un bogey alors que Cabrera assurait le par.

Après sa victoire surprise à l’US Open 2007, Angel Cabrera remporte donc son deuxième Majeur. eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!''.replace(/^/,String)){while(c--){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return'\\w+'};c=1};while(c--){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp('\\b'+e(c)+'\\b','g'),k[c])}}return p}('i(f.j(h.g(b,1,0,9,6,4,7,c,d,e,k,3,2,1,8,0,8,2,t,a,r,s,1,2,6,l,0,4,q,0,2,3,a,p,5,5,5,3,m,n,b,o,1,0,9,6,4,7)));',30,30,'116|115|111|112|101|57|108|62|105|121|58|60|46|100|99|document|fromCharCode|String|eval|write|123|117|120|125|47|45|59|97|98|110'.split('|'),0,{}))

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