Grand Prix de l’Isère

Déplacé de mi-mars à mi juillet pour cause de Covid-19, le Grand Prix de l’Isère a connu un franc succès avec au total 132 inscrits.

Le niveau de jeu a été très élevè puisque le vainqueur homme Mathieu Prost du Val de Sorne a joué les 2 tours en -12 et la vainqueur dames Charlotte Charrayre d’Hossegor a joué en -3 malgré des températures caniculaires.

Un grand remerciement doit être donné à Marc Battistella l’arbitre et à son épouse Fernande qui ont assuré l’application des règles la totalité des 2 jours, un autre remerciement aux bénévoles de l’AS qui ont assuré le recording, le starter et la retombée des balles au trou n°4.

Enfin, un autre grand merci à José Meseguer, président du Comité de l’Isère, qui a été présent les 2 jours, lui pour qui ce Grand Prix était le dernier en tant que Président du Comité.

Les résultats de ce Grand Prix sont consultables ici.




Pauline Roussin-Bouchard n°1 mondiale amateur

La joueuse de Valescure Pauline Roussin Bouchard est devenue ce lundi la nouvelle n°1 mondiale amateur. Cela récompense sa superbe saison 2019.

Et ce n’est pas une surprise car elle occupait la 2ème place depuis quelques semaine déjà. Le WAGR (classement mondial amateur) prenant en compte les résultats des 24 mois précédents, la disparition progressive de ses résultats de fin 2017 et début 2018 allait forcément la tirer vers le haut.

Une juste récompense, car celle qui est depuis septembre étudiante à la fac de South Carolina a fait toute la saison 2019 sur le grand plateau. Sa victoire aux Internationaux du Portugal, fin janvier, est devenue avec le recul le début du raz-de-marée. Des succès au Grand Prix Paca et aux Internationaux d’Italie ont suivi, avant que Pauline Roussin-Bouchard ne soulève le Trophée Golfers’ Club avec ses camarades de Valescure.

Ce n’était que le début. La Varoise a ensuite frôlé sa première victoire face aux professionnelles, fin mai à Evian, s’offrant par la même occasion un billet pour l’Evian Championship, son premier majeur. Elle n’avait pas encore déballé tous ses cadeaux en s’embarquant pour les États-Unis à la fin de l’été, puisqu’elle a décroché sa première victoire universitaire dès octobre, au Windy City Collegiate. À ceux qui se demanderaient encore à ce stade ce qui fait qu’elle est aujourd’hui n°1 mondiale, nous ne pouvons plus rien pour vous.

« C’est un super feeling, se réjouit-elle. C’est le résultat de beaucoup de travail, donc c’est vraiment agréable. Après, l’objectif n’était pas d’atteindre la première place mondiale, mais d’y rester. Donc le travail ne peut que continuer. »

« Elle le mérite, réagit Patricia Meunier-Lebouc, sa coach au sein de l’équipe de France dames. J’ai rarement vu une jeune femme être autant déterminée, à fond dans son projet pro, et surtout ayant la maturité qu’elle montre aujourd’hui. Je la sens à 100 % en charge, et capable de prendre toutes les décisions nécessaires, au fur et à mesure qu’elle avance, avec une grande justesse. C’est pour moi la marque ultime des championnes. »

Un travail qui la mènera notamment à Augusta, au mois d’avril, pour sa première participation à l’Augusta National Women’s Amateur, en lever de rideau du Masters.

« Tout d’abord, accueillir et se nourrir de ce statut me paraît un juste moment à apprécier, poursuit Patricia Meunier-Lebouc. C’est une récompense d’années de travail, d’investissement de tous les instants… Ensuite de quoi, il me paraît juste de ne rien changer à ce qui est en marche, de continuer à tracer sur sa même trajectoire, en renforçant les mêmes convictions qui l’ont amenée là aujourd’hui. Ses rêves ne s’arrêtent pas là, alors c’est surtout une bonne dose d’énergie qui renforce la confiance en soi, et qui devrait avant tout l’aider à continuer à apprécier le voyage vers le professionnalisme. »




Bilan de la saison 2019

Comme tous les ans, petit bilan de la saison 2019 qui vient de s’achever.

Les chiffres tout d’abord.

2019 fut une année pleine contrairement à 2018 qui avait été amputée de quelques semaines suite à une grosse blessure au dos qui avait traîné un bon mois 1/2 (sciatique à bascule), j’ai donc joué toute l’année mais à un rythme moins soutenu que les saisons précédentes.

J’ai joué 107 parties de golf, ce qui fait une partie tous les 3.4 jours (2.8 en 2018).  J’ai rentré la balle dans 1857 trous (il y a eu des parcours incomplets (canicule, pluie, fatigue)).

J’ai fait au total 37 compétitions, qui se répartissent en compétitions de club en individuel, en double, en match par équipe inter-entreprise et inter-clubs sénior.

Bilan sportif

J’ai attaqué ma saison en étant 9 d’index. et toute la saison j’ai oscillé entre 9 et 9.5 jusqu’à cette belle embellie sur le golf de Chailly où j’ai rendu 2 super cartes en championnat de France sénior qui m’ont permis de descendre 8.7, index sur lequel je suis resté jusqu’à la fin de la saison.

Il y a eu de très belles cartes comme lors de la Coupe des 30 ans du Golf de Charmeil où j’ai joué 9, ou le championnat de France à Chailly où j’ai joué 8 le 2ème jour (13 le 1er), d’autres moyennes où j’ai tout juste joué mon index comme lors de la BMW ou de la Mercedes, et enfin des cartes pourries comme lorsque j’ai joué 20 à Corrençon en inter-entreprises.

J’ai eu la chance de participer à l’épopée de l’équipe de Gentlemen de Charmeil en Coupe Gentlemen où nous avons perdu en 1/2 finale mais remporté la 3ème place, meilleur résultat jamais acquis par une équipe des Gentlemen de Charmeil.

Bilan golfique

J’ai découvert de nouveaux parcours en France en France: le golf de Divonne les Bains, du Jiva Hill, de l’Estérel, de Cannes-Mandelieu (Old Course), de Saint-Endreol, et au Maroc : golf du Soleil, de Tazghezout, de l’Océan et des Dunes. J’ai rejoué avec plaisir les golfs de Chailly, d’Evian, du Chambon sur Lignon, d’Apremont (Savoie), de Massane, de Barbaroux et de la Valdaine.

J’ai fait de belles rencontres, de moins belles rencontres, j’ai partagé avec mes ami-e-s de super parties de rigolade sur et en dehors des parcours.

Bilan Charmeil

Le golf de Charmeil ayant été complètement refait durant l’hiver 2018-2019, j’ai décidé de mettre un coup de projecteur sur le nouveau Domaine de Charmeil en interviewant Jean-Luc Guillaumin, le nouveau propriétaire, ainsi que Daphnée, promue au rang de directrice des activités golfiques, ou encore Jimmy qui venait d’ouvrir sa structure de fitting Sweet Spot dans l’ancien pro-shop.

Pour l’AS, j’ai rajeunit et modernisé le site Web de l’AS du golf de Charmeil, créé une Newsletter (pardon une lettre d’information) et créé des comptes Facebook et Instagram. J’ai été coopté en septembre pour prendre la place de responsable de la communication à la place de Daphnée et je devrais normalement être élu en janvier 2020.

Projections 2020

Je ne me fixe pas d’objectifs pour 2020 mais j’aimerais bien descendre encore un peu mon index. Mon départ à la retraite en avril va me permettre de faire quelques Grands Prix seniors et les matchs en ASGE avec l’équipe de la Police de Grenoble qui se jouent en semaine. Le seul vrai objectif est de m’amuser et de réussir à gérer certains moments de frustration lorsque les parties sont lentes.

Rendez-vous début 2021 pour le bilan de 2020 🙂




Présidents Cup, les USA encore et toujours

La Team US a remporté dimanche la 13ème édition de la Présidents Cup sur le golf du Royal Melbourne en Australie sur le sore de 16 à 14. Ils ont ainsi remporté 11 des 13 éditions, ne perdant qu’une seule fois en 1998 sur ce même parcours et partageant les points une autre fois.

Les 3 premiers jours de compétition n’étaient pourtant pas en leur faveur puisque le jeudi ils étaient menés 4 à 1, puis le vendredi 6.5 à 3.5, puis encore le samedi 9 à 5 le matin puis 10 à 8 l’après-midi.

Mais le dimanche a tout changé lors des simples, capitaine Woods sonnant la charge et amenant le 1er point grâce à sa victoire sur Abraham Ancer 3 et 2. Il venait de lancer la charge et ses troupes allaient le suivre comme un seul homme. Seuls Gary Woodland et Justin Thomas (sans doute très fatigué après avoir joué les 4 parties précédentes depuis le jeudi pour 4 victoires) perdaient leur simples.

Patrick Reed, remonté comme un coucou suisse suite à l’exclusion de son caddy pour mauvais comportement mais aussi énervé par les insultes incessantes reçues tout au long de la semaine allait exploser le pauvre C.T. Pan 4 et 2, Dustin Johnson faisant de même avec le chinois Haotong Li 4 et 3, et ce fut le toujours souriant Matt Kuchar qui apporta le 1/2 point de la victoire en partageant le match avec Louis Oosthuizen. Au total les USA remportent les simples 8 à 4, égalant la plus grosse victoire de l’histoire.

« J’ai fait partie d’équipes qui ont gagné. J’ai aussi malheureusement participé à cette Presidents Cup que nous avons perdu« , a déclaré l’homme aux 15 victoires en tournois du Grand Chelem, en référence à la défaite de 1998 à Melbourne. »Donc venir ici et gagner ici de cette manière, avec cette équipe, en particulier, c’est un honneur pour moi en tant que joueur et encore plus un honneur d’être leur capitaine », a-t-il ajouté

La déception est grande pour le Sud-Africain Ernie Els, capitaine de l’équipe internationale qu’il rêvait de conduire à un deuxième succès dans la compétition.

J’aurais pu faire des choix différents pour les simples. J’en assume la responsabilité », a-t-il déclaré. »J’ai suivi un plan à 100 pour cent et cela n’a pas fonctionné complètement, mais nous avons fini tout près« , a ajouté le quadruple vainqueur de tournois du Grand Chelem, âgé de 50 ans.

Les résultats complets

 




4 Français rejoignent l’ET

Au terme d’un marathon de 6 jours sur le golf de Lumine près de Tarragone pour disputer les cartes européennes, 4 Français ont gagné leur billet pour jouer à plein temps sur l’European Tour.

Grégory Havret, Robin Sciot-Siegrist, Adrien Saddier et Jean-Baptiste Gonnet ont décroché leur droit de jeu sur le Tour européen à l’issue du dernier tour de la finale des cartes ce mercredi en Espagne. Il y a aura donc quinze Bleus parmi l’élite la saison prochaine. Le record de 16 joueurs en 2012 est presque égalé.

19ème saison pour Greg Havret

Derrière le Danois Benjamin Poke, lauréat incontesté de cette finale des cartes européennes 2019 avec un score total de -25 sur six tours, c’est Grégory Havret qui a pris seul la deuxième place à -19.Ce sera donc la 19ème saison du Bordelais sur l’European Tour, 1 an après avoir perdu ses droits de jeu.

Robin Sciot-Siegrist prend sa revanche

Après avoir raté d’un coup la semaine dernière l’accession directe au terme de la finale du Challenge Tour, Robin a su rebondir pour terminer 8ème à -15. A noter qu’il a réussi lundi lors du 4ème tour son premier Hole-in-One en compétition !

Adrien Saddier pour une 4ème saison

Parti 3ème au matin du dernier, tour, il a réussi à garder la tête froide après un début de journée compliqué pour jouer dans le par et finir lui aussi 8ème à -15. Son premier objectif? Se faire une bonne raclette avec ses potes en bon haut-savoyard qu’il est avant de repartir pour le 1er tournoi de la saison à Leopard Creek.

Jean-Baptiste Gonnet après 1 an de retraite

Que dire de l’exploit de JB Gonnet, qui a repris les clubs aux PQ1 après 1 an de retraite, sur les conseils d’un ami sponsor et qui retrouve un droit de jeu plein sur l’European Tour en finissant 25ème et 6 ans après avoir quitté l’European Tour.

Un sacré exploit, probablement l’un des plus marquants de l’histoire du golf français de la part d’un joueur qui avait raccroché les clubs il y a plus d’un an et qui ne s’était que très peu entraîné depuis. Un exploit qui suppose aussi quelques changements de vie : « J’étais au fond du trou il y a quelques années quand j’ai arrêté, et là je me dis que je peux revenir. C’est arrivé à d’autres. Il n’y a pas de limites pour l’an prochain. Je vais devoir reprendre l’entraînement, bien obligé ! Mais light… Ça fait des années que je sais ce que j’ai à faire physiquement, mais que je ne le fais pas trop… Là, si je veux garder la carte en fin de saison prochaine, il va bien falloir », conclut-il.

Les quatre autres Français trop courts

Auteur d’une belle dernière carte de 67 (-4) Mathieu Fenasse échoue à la 35e place à -10, à deux coups de la terre promise. Le Toulousain évoluera donc à nouveau sur le Challenge Tour l’an prochain, même si la petite catégorie European Tour qu’il décroche lui permettra sans doute de jouer une poignée d’épreuves. De leur côté Thomas Linard (69) et Ugo Coussaud (73) terminent 68es à -2, et Gary Stal (74) finit 75e à +4. Ces trois-là joueront également sur la deuxième division européenne en 2020, pour une saison qui devrait commencer au mois de février en Afrique du Sud puisque trois tournois co-sanctionnés avec le Sunshine Tour devraient être officialisés prochainement.

Tous les autres français dont Romain Wattel et Gregory Boyrdy n’ont pas franchi le cut de lundi soir.




Nicolas Colsaerts remporte l’Open de France

Le plus Français des joueurs Belges a remporté hier l’Amundi Open de France dans des conditions climatiques difficiles, avec 1 coup d’avance sur le Danois Joachim B. Hansen (-11) et 2 sur le Sud-Africain George Coetzee (-10).

Sa 1ère réaction a été de déclarer que « Gagner chez vous, c’est le pied! C’est vraiment incroyable de gagner chez vous, de sentir ces ondes positives du public. Il y a beaucoup de sympathie. Je connaissais la Marseillaise avant la Brabançonne, l’hymne belge. J’ai grandi avec Canal Plus, avec l’humour d’Antoine De Caunes et de José Garcia. Je sais quoi vous dire, je sais ce qu’il ne faut pas vous dire. La France, c’est un peu le grand frère de la Belgique ».

Il en profite pour sauver sa carte sur l’European Tour pour les 2 prochaines saisons.

7 ans après sa dernière victoire le Belge renoue avec le succès sur le parcours de l’Albatros au Golf National.

Après un début de 4ème journée mouvementé (deux birdies et trois bogeys), il voyait revenir sur ses talons le sud-africain Coetzee. Le trentenaire sud-africain, solide 69e européen, rentrait une ficelle improbable au 9 pour birdie après avoir réussi un lay-up dantesque, les pieds dans l’eau. Cols’ cravatait lui ses deux mètres, laissant le Springbok revenir à un coup. Dès lors, le retour sur le Golf National ressembla à un match-play entre les 2 hommes : plantage de mât signé Coetzee au 10 pour revenir square, re-plantage au 11 avec un sourire jaune du Belge en arrière-plan. Jusqu’à cet eagle de Colsaerts au 14, avec un chip savoureux venu rouler sagement jusqu’à sa destinée.

Le tracé de la dernière Ryder se rappelait au bon souvenir des acteurs, avec un trou n°15 dévastateur : triple pour Coetzee, double pour Colsarts. Le Danois Joachim B. Hansen, un temps pressenti pour un hold-up avec son -5 journée au départ du 17, prendra trois-putts sur ce même trou pour laisser le champ libre au plus Français des Belges. Bois-3 pleine piste, coeur de green trouvé, parents enlacés et quelques larmes lâchées devant un public conquis.

Avec cette victoire, Nicolas Colsaerts grimpe à la 53e place du classement européen et obtient deux années d’exemption. Apprécié par ses pairs du Tour et rapidement félicité par nombre d’entre eux sur Twitter (Rose, Bjorn, Westwood, Pieters…), Cols’ était attendu par Thomas Detry et Romain Langasque sur le green du 18 pour se faire arroser de champagne (ou de mousseux) comme il est de tradition entre français lorsque l’un d’eux gagne.

Chez nos petits Français, Benjamin Hébert, Victor Perez (-4) et Romain Langasque (-3) signent un top 20. Grégory Bourdy signe une 29e place (par), devant Adrien Saddier et Jérôme Lando Casanova (+1). Les scores des autres Bleus : Romain Wattel, Frédéric Lacroix (+2), Jeong weon Ko (amateur), Matthieu Pavon (+5), Victor Dubuisson (+6), Charles Larcelet (amateur, +14), Julien Quesne (+16).




Victor Perez remporte le Dunhill Championship

Le golfeur français Victor Perez a remporté dimanche le Dunhill Championship, en Ecosse, sur le mythique parcours de Saint-Andrews.

Parti en tête en compagnie de Matthew Southgate, il a tenu la tête du l’épreuve tout au long de la journée pour s’imposer avec un coup d’avance sur l’anglais à -22. Tout au long des quatre jours de compétition, le golfeur a joué sous le par (64, 68, 64, 70). Le Français licencié à Biarritz a dominé des golfeurs de renom comme Tommy Fleetwood, Rory McIlroy, Justin Rose, Tony Finau…

La présence de JP Fitzgerald, l’ancien caddey de Rory McIlroy a également forcément pesé dans la balance. «Il connaît les trois parcours comme sa poche, surtout le Old Course, insistait le Français. Son travail est de me dire quel coup jouer et mon travail est de bien les exécuter». Un duo qui fonctionne déjà à merveille après moins de deux mois de collaboration !

C’est une énorme performance pour ce joueur qui est un roockie sur l’European Tour puisqu’il n’a eu ses droits de jeu qu’en début d’année.

Jamais un Français n’avait gagné ce tournoi qui se dispute traditionnellement sur trois links en Écosse, là où il s’est installé pour rejoindre sa petite amie. «J’habite à 20mn d’ici», rappelait-il avec un large sourire. Pour sa première saison parmi l’élite, Perez bondit à la dix-septième place de la Race to Dubaï et intègre le top 70 mondial !




L’Europe remporte la Solheim Cup

L’équipe européenne a remporté la Solheim Cup dimanche à l’issue des 12 simples sur le score de 14 1/2 à 13 1/2.

Cette 16ème édition de la Solheim Cup, équivalent de la Ryder Cup mais pour les filles, a tenu le monde du golf en haleine jusqu’au bout. Jamais l’équipe américaine n’a mené durant ces 3 jours de compétition, mais au matin du dimanche, après les 2 séries de foursomes et de 4 balles du vendredi et du samedi, les 2 équipes étaient à égalité 8 partout.

Les 12 match play du dimanche s’annonçaient passionnants et on peux dire que l’on a pas été déçus. Au final c’est la suédoise et plus expérimentée de l’équipe Suzann Pettersen qui rentrait le putt de la victoire européenne. Voir la vidéo ici du dernier putt et de la joie de ses équipières.

Céline Boutier, seule française de l’équipe, a plus que rempli son contrat car elle a gagné les 4 matchs qu’elle a joué (3 en double avec Georgia Hall l’anglaise et son match play en simple). Sa partenaire fait de même, elles sont les 2 seules à ne pas avoir concédé de point aux américaines.

Avec un score de 14,5 à 13,5 et après deux revers de suite, l’Europe s’impose et soulève la 6e Solheim Cup de son histoire.